janv. 22, 2010
Mains
Je me souviens de tes doigts sur la pierre. Il faisait presque nuit. C’était en Angleterre, nous faisions connaissance…Tu as touché le mur. J’ai regardé ta main s’enquérir et comprendre. Savoir. Une affaire de désir entre le monde et toi. Une question d’expertise. Une histoire d’entente et, voilà, je t’aimais.
Viviane Forestier
19:05 Publié dans LITTERATURE / Anthologie de Corinne Le Lepvrier
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