Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

août 22, 2009

16 / Un texte troué

Le texte qui va vous être proposé possède des trous...

Comblez les manques !

1 - Remplacez chaque espace vacant par un mot, un seul. L'esprit n'étant pas de tenter de reconstituer un texte d'origine mais de se saisir de ce qui est là pour le faire sien...

2 - Proposez cet exercice de langage à vos enfants, une amie, votre père...et accumulez les versions.

3 - Les mettre en partage sur le blog de Matière à Mots (en cliquant sur commentaires ci-dessous).

 

............... heures.
Il fait juillet à n’y pas croire. Qui ne s’est pas surpris à regarder courir sur la                    l’ombre des                    d’été ? Je ne sais pas autre chose en                     ceci. Le                        comme matière de la                    . Mon corps prolonge la                     . Comme une                     . J’habite avec les éléments                    des choses. Ce n’est rien, un                     . De                    , des reflets, des                     . Les                     , les merveilleux                    .

Ce que j’éprouve serait assez                     à                    .
Des                      , parfois.
Presque                    .

 

 

4 - Le mois prochain vous découvrirez le texte initial sur le blog.

15:48

Commentaires

01 heure.
Il fait juillet à n’y pas croire. Qui ne s’est pas surpris à regarder courir sur la mer l’ombre des emprises d’été ? Je ne sais pas autre chose en réfléchissant ceci. L’horizon comme matière de la vérité. Mon corps prolonge l’oscillation. Comme une vague. J’habite avec les éléments fluides des choses. Ce n’est rien, un désir. De l’ivresse, des reflets, des regrets. Les désirs, les merveilleux désirs.
Ce que j’éprouve serait assez délicieux à écrire.
Des trahisons, parfois.
Presque nécessaires.

Écrit par : B. Burgue | août 22, 2009

quatorze heures.
Il fait juillet à n’y pas croire. Qui ne s’est pas surpris à regarder courir sur la croisette l’ombre des touristes d’été ? Je ne sais pas autre chose en ruminant ceci. Le corps comme matière de la frime. Mon corps prolonge la procession. Comme une marionnette. J’habite avec les éléments inconscients des choses. Ce n’est rien, un defilé. De la futilité, des reflets, des sans-ames. Les visiteurs, les merveilleux adolescents.
Ce que j’éprouve serait assez facile à mépriser.
Des miroirs, parfois.
Presque effacés.

Écrit par : Christophe mali | août 24, 2009

Quatre heures.
Il fait juillet à n’y pas croire. Qui ne s’est pas surpris à regarder courir sur la tonnelle l’ombre des papillons d’été ? Je ne sais pas autre chose en contemplant ceci. Le rêve comme matière de la vie. Mon corps prolonge la vibration. Comme une mélodie. J’habite avec les éléments vivants des choses. Ce n’est rien, un désir juste.
De la langueur, des reflets, des ballades.
Les embruns, les merveilleux soupirs. Ce que j’éprouve serait assez doux à vous murmurer.
Des paradis, parfois.
Presque inachevés .... .

Écrit par : Claire Seppecher | août 24, 2009

18 heures. Bientôt noêl.
Il fait juillet à n’y pas croire. Qui ne s’est pas surpris à regarder la Tipi (la chienne de l'auteur) courir sur la lisière de l’ombre des nuages d’été ? Je ne sais pas autre chose en ces temps que ceci. Le cumulus comme matière de la vie. Mon corps prolonge la volonté de Dieu . Comme une babos Témoin de Jéhovah. J’habite avec les éléments au cœur des choses. Ce n’est rien, un accident. De la lumière, des reflets, des OVNI. Les habitants conquérants de l'infini.
Ce que j’éprouve serait assez curieux à expliquer.
Des fois, parfois.
Presque comme eux.

Écrit par : Sophie.t | août 25, 2009

19 heures.
Il fait juillet à n’y pas croire. Qui ne s’est pas surpris à regarder courir sur la berge l’ombre des amoureux d’été ? Je ne sais pas autre chose en ce moment que ceci. Le calme comme matière de la pensée. Mon corps prolonge la mer. Comme l'écume. J’habite avec les éléments infimes des choses. Ce n’est rien, un instant. De l'air, des reflets, des silences. Les silences, les merveilleux instants de silence.
Ce que j’éprouve serait assez improbable à ressentir.
Des illusions, parfois.
Presque inexplicables.

Écrit par : yann | sept. 08, 2009

14 heures.
Il fait juillet à n’y pas croire. Qui ne s’est pas surpris à regarder courir sur la pelouse l’ombre des blés d’été ? Je ne sais pas autre chose en ce monde que ceci. Le bonheur comme matière de la vie. Mon corps prolonge la piscine. Comme une planche. J’habite avec les éléments naturels des choses. Ce n’est rien, un paradis. De l'eau, des reflets, des rêves. Les sourires, les merveilleux sourires.
Ce que j’éprouve serait assez étrange à danser.
Des délires, parfois.
Presque hallucinant.

Écrit par : Morgane.C | sept. 08, 2009

Les commentaires sont fermés.